Après sinistre et RSE : Le procédé USTUN-LOCK répond à vos attentes !
La R&D (Recherche et Développement) est omniprésente chez les industriels, mais littéralement inexistante chez les artisans.
Depuis quelques décennies, nos métiers ne sont plus capables d’innover.
C’est dans ce sens que je propose mon procédé USTUN-LOCK, totalement pensé pour les mesures provisoires en après sinistre.
Une seule ambition : Établir une véritable démarche RSE.
Allons-y !
Après sinistre et mesures provisoires : Le constat
Je l’écris très régulièrement dans les lignes de mon magazine, les mesures provisoires en après sinistre sont une catastrophe.
Catastrophe sur le plan technique, étique et écologique comme d’un point de vue purement financier.
A croire que nos entreprises spécialisées en après sinistre aiment perdre de l’argent.
J’ai fait ce constat il y a 4 ans déjà, en observant les entreprises oeuvrer en mesure provisoire (ou conservatoire) avec des techniques qui tiennent du bricolage plus que du bâtiment.
En couverture et charpente, cela tient littéralement de l’hérésie.
C’est dans cette optique précise que je propose une solution dédiée, réfléchie et pragmatique à ma direction il y a deux ans.
Ma direction est emballée par le concept, puis plus rien. Une simple question d’attentisme.
Lire mon dossier sur l’après sinistre et les entreprises spécialisées.
Mesure provisoire : Un risque non mesuré
Le premier et principal problème de la mesure provisoire est que cette discipline n’est absolument pas maîtrisée.
C’est ainsi qu’on se retrouve avec des aberrations dignes de véritables notes d’humour à lire dans une bande dessinée.
Jusqu’à l’accident.
Lire mon article sur les mesures provisoires en après sinistre.
Du gaspillage à tous les étages
Bâche, onduline, tôle souple ondulée, mousse polyuréthane : Tout y passe !
Le gaspillage est une « norme » en mesure provisoire, alors même que ce sont des entreprises spécialisées qui oeuvrent.
Alors même que toutes les entreprises en après sinistre communiquent sur la RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) absolument partout, elles ne prennent pas en compte ce gaspillage pourtant bien visible.
La com c’est du « bla bla », ça nous le savons tous. En revanche, dans ce cas précis, c’est clairement du mensonge !
Aucune entreprise n’est épargnée, toutes ont exactement les même process.
C’est de ce simple constat que j’ai commencé à « griffonner » un principe de base, simple et peu coûteux.
Le postulat : Réaliser une mesure provisoire semi-defintive. Et ça marche.
Le procédé USTUN-LOCK permet de réutiliser 92% des matériaux jusqu’à 6 missions. Le reste est très facilement réemployé.
Zéro perte, ou presque, c’est ça le véritable sens de la RSE.
Lire mon article sur la RSE dans le bâtiment.
Une solution pragmatique en mesure provisoire
Ma solution est si simple qu’elle n’appelle aucune réflexion particulière ni contrainte.
Une entreprise qui souhaite aujourd’hui se démarquer dans le milieu de l’après sinistre doit impérativement cautionner mon procédé.
Je ne souhaite pas déposer un quelconque brevet car le bon sens doit être « commun », autrement dit librement partagé.
Une forme de process « open source » dédié au bâtiment.
Mes convictions personnelles et mon idéologie me préservent également de toute notion d’enrichissement personnel, ce que vous savez si vous me lisez régulièrement.
Ma démarche est donc simple, je souhaite associer un « géant » de l’assurance à mon concept.
Nous verrons bien lequel sera le plus enclin à participer. J’ai personnellement bon espoir que la MAIF soit de la partie.
Mais avant d’en arriver là, j’ai besoin de financer le projet pour le mettre en oeuvre sur 10 cas réels, in situ.
USTUN-LOCK : Besoin de financement
Aujourd’hui j’ai besoin de financer mon projet.
Les croquis c’est bien, le prototype c’est encore mieux, mais la production c’est l’objectif !
Je ne connais le « crowdfunding » que de nom et je n’ai jamais clairement expérimenté ce type de démarche. En revanche j’en ai de bons retours.
Par conséquent, j’envisage de créer une cagnotte type kiss kiss bank bank ou TeePee.
J’espère que mes lecteurs et mes partenaires prendront part au projet dans la mesure de leurs capacités.
Vous êtes mécène ? Parfait ! Contactez moi via mon mail : contact@monbatiment.fr
Une affaire à suivre
C’est donc une affaire à suivre.
Je vous tiendrai informé de l’avancement du projet dans les lignes de mon magazine, et nous vivrons cette aventure ensemble.
D’ici là, merci pour vos lectures et bon chantier !
Serge USTUN.